Quatre interventions du VAR… logiques lors de Charleroi-Antwerp
Le foot a beau être un sport vieux comme le monde (ou presque), son règlement évolue sans cesse. Que ce soit grâce à l’évolution technique (avec l’apparition du VAR) ou pour clarifier les lois du jeu.
- Publié le 12-08-2019 à 15h30
Le foot a beau être un sport vieux comme le monde (ou presque), son règlement évolue sans cesse. Que ce soit grâce à l’évolution technique (avec l’apparition du VAR) ou pour clarifier les lois du jeu.
Sur des phases de but, le VAR est intervenu à quatre reprises à Charleroi - Antwerp : 1) en annulant un but de Baby (56e) ; 2) en confirmant l’égalisation de Refaelov alors que l’assistant avait levé son drapeau pour signaler un hors-jeu (qui ne l’était donc pas) ; 3) en confirmant le but de Perbet (qui n’était par hors-jeu vu que le ballon venait d’un adversaire) ; 4) et en annulant le but de Henen (là aussi pour un hors-jeu). Sur le premier but annulé, pour y revenir, Coopman avait effectivement effleuré le ballon du bras. Depuis l’entame de la saison, il n’est plus question de laisser libre cours à une quelconque interprétation de l’arbitre sur les fautes de main. Du style : le bras est dans une position naturelle, ou encore c’est le ballon qui vient à la main (et non l’inverse). Les hommes en noir ont la consigne de siffler dès que le ballon entre en contact avec le bras. Point à la ligne.
Malgré ce règlement éclairci et les interventions du VAR, le foot n’a pas perdu de sa spontanéité lors de ces 45 minutes de folie. Même Bölöni saluait les interventions… des huit arbitres (4 pour le VAR, 4 sur le terrain) qui officiaient !